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2.
Théorie
de J.M.J. Kooy et J. Berghuis
3.
Réflexions
de William F. Hassel
4.
La
gravitation selon Paul Brown
5.
Des
expériences historiques concernant la gravitation
6.
D'autres
expériences et théories
7.
Autres
théories sur la gravitation
8.
Quelques
témoignages et réflexions relatifs à des phénomènes curieux
de gravitation
>> Autres
pages : gravitation (intro Galilée Newton) -
la
mécanique newtonienne
la relativité selon Einstein
- mécanique quantique
ondes
de choc - gravitation
(conclusion)
>>
Autres
dossiers
On peut se demander
pourquoi il va beaucoup être question d'éther (aether) dans
cette partie alors que le sujet est la gravitation. La réponse
tient au fait que l’éther en tant que médium est probablement
nécessaire au phénomène d'antigravitation.
On considère les forces gravitationnelles comme
extrêmement faibles en regard des forces électrostatiques et
magnétiques. Comment le champ de gravité d’une masse telle que
la terre peut-il être suffisamment perturbé pour neutraliser
la force de l’attraction terrestre ? Cela ne semble pas
être faisable si la gravité voyage dans un espace vide.
Cependant, si l’espace est rempli d’une substance du genre
éther, également essentielle à la propagation de la gravité,
alors on peut concevoir que l’on peut contrôler cet éther pour
avoir la possibilité de manipuler la gravité en se servant de
l’énergie contenue dans ce même éther. Donc, l’évidence de
l’éther décrite ci-dessus rend plus plausible le concept
d’anti gravité.
Dans ses écrits sur la gravitation, le
Dr Nieper dit que seuls quelques rares scientifiques comme A.
Magyari, K.P Stanyukovitch, et le groupe d’Anatol J.
Schneiderov se sont jusqu’ici sérieusement penchés sur ce
problème et ont critiqué les déficiences des lois existantes.
Depuis 1953, le Dr Nieper pensait, comme Magyari et
Stanyukovitch, que le rayonnement du champ '' radional ''
pénètre les corps aussi bien que les masses dans l'univers
mais en perdant ainsi de l'énergie. Cette énergie qui quitte
le corps après l'avoir pénétré est inférieure à celle qui
provient de l'extérieur ce qui a pour conséquence
l'accélération gravitationnelle dans la direction de la masse.
Pour exemple, l'interception par la Terre de l'énergie
gravitationnelle qui la pénètre lui fait perdre 4 à 4,5 % de
masse (un document NASA sur les lunes de Jupiter indique même
25 %).
De nombreux auteurs se demandent s'il n'est pas
possible d'expliquer la chaleur du Soleil par d'autres
mécanismes que celui de la fusion, mais par la densité du
champ de tachyons, que le Dr Nieper dénomme coussin
périsolaire. Le Dr Nieper a établi une théorie dite de l'écran
gravitationnel qui l'a amené à penser que le magnétisme
statique d'un noyau de fer ou une induction électromagnétique
modifie la ''transparence'' du rayonnement du champ radional
et le fait dévier, ce qui expliquerait par exemple les
accélérations de la baguette de sourcier ou du pendule.
Nieper, Stanyukovitch et Schneiderov avaient rejeté,
depuis longtemps, comme improbable, l’hypothèse d’une
attraction de masses ou d’une attraction de la terre. Au
début des années 20, Levetzow, ingénieur allemand pensait que
l’accélération gravitationnelle n’est pas un phénomène
d’attraction mais de pression. Il n’a pu faire passer sa
vision des choses face à Einstein qui vivait à la même époque
à Berlin et avait une influence puissante. Néanmoins,
plusieurs physiciens russes ont suivi ses idées.
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La constante de Gravité serait une
fonction du rayon de courbure d’un espace cosmique sphérique.
Il semble pertinent de mentionner la mer de gravitons qui
constitue une hypothèse de J.M.J.Kooy physicien hollandais et
qui est en rapport avec un texte de Dudley qui parle de la mer
de neutrinos.
Concevoir la gravité en tant que force
externe implique davantage la possibilité que les corps ne
s’attirent pas l’un vers l’autre mais sont mus ensemble par
une sorte de rayonnement cosmique provenant de toutes les
directions de l’infini physique. L’espace tout entier est
occupé par des particules gravitationnelles se déplaçant de
façon homogène (dans tous les sens) qu'il nomme gravitons
venant de toutes directions. Ils existent depuis l’aube des
temps, ont à peu près la même taille que les neutrinos, se
déplacent beaucoup plus vite que la lumière et ont une masse
résiduelle imaginaire. Ces particules entrent constamment en
collision avec les particules ordinaires mais en raison de
leur isotropie l’effet total des collisions est nul.
On peut les assimiler à des photons, sans masse
résiduelle, mais avec une masse positive en raison de leur
vitesse. On peut alors appeler ces particules " quantum
de gravité ". Un graviton (à masse négative) serait alors une
" absence " de quantum de gravité, de même que dans
la théorie quantique relative à l’état " plein ", on
peut concevoir l’absence d’un électron comme une
" cavité " qui peut se déplacer à travers la
structure solide.
Imaginons dans cette radiation
gravitationnelle que l’on suppose uniformément distribuée, 2
particules élémentaires impénétrables à cette radiation ;
l’équilibre de la pression de radiation sur chacune d’elles
sera perturbé, et les particules auront tendance à aller
ensemble. Si la distance entre 2 particules matérielles est
grande comparée à l’étendue des particules elles mêmes, cette
apparente attraction mutuelle sera inversement proportionnelle
au carré de la distance. L’attraction gravitationnelle entre 2
corps macroscopiques serait alors due à l’impénétrabilité des
particules élémentaires les constituant, comme à la radiation
gravitationnelle....Les conséquences de ce qui précède sont
importantes en cosmologie.
En supposant un espace
cosmique sphérique, le rayonnement gravitationnel se répandra
dans l’espace tout entier, de manière uniforme. Cet espace se
dilatant, la densité de radiation gravitationnelle décroîtra.
On peut donc s’attendre à ce que la constante gravitationnelle
diminue avec l’augmentation du rayon de courbure. Mais, d’un
autre côté, le rayon local de courbure de l’espace dépendra de
la densité d’énergie locale, et par conséquent, aussi, de la
densité de radiation gravitationnelle. Si cette radiation agit
sur les masses matérielles selon la description ci-dessus, sa
densité d’énergie diminuera, et le rayon de courbure
augmentera. C‘ est seulement en utilisant la mécanique
classique que l’influence perturbatrice d’une vitesse finie de
gravitation a été prise en compte.
Cependant, quand
deux corps ayant une certaine masse s’approchent l’un de
l’autre, ils font mutuellement écran à une partie des
gravitons qui se déplacent dans leur direction, la mer de
gravitons perd son isotropie et pousse les corps l’un vers
l’autre. Kooy a déduit cette théorie des mathématiques, et il
a découvert qu’elle était en accord avec les lois normales de
la gravité. La constante de la gravitation dépend ainsi de la
densité de la gravité, et décroît avec l’expansion de
l’Univers. Ce qui signifie, qu’en réalité, il n’existe pas de
masse pesante, mais seulement de masse " inertielle ".
Qui plus est, Kooy pense que l’esprit humain est capable
d’influencer une structure atomique de telle manière que
l’absorption des gravitons devient une fonction de leur angle
d’incidence, et que, ainsi on peut arriver à la télékinésie et
la lévitation, ce qui constituerait des servo-effets,
l’énergie elle-même étant fournie par les gravitons. Il ajoute
une fantastique vision du futur : si nous pouvions
provoquer et réguler cette absorption différentielle, nous
n’aurions plus du tout besoin d’être liés à la chimie ou à
l’énergie nucléaire...
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Lors du congrès 1996
du MUFON (Mutual Ufo Network) il disait :
'' Il semble
évident que les effets gravitationnels ou antigravitationnels
sont associés à un mouvement giratoire de particules
chargées... Le phénomène UFO fait souvent référence à des
objets en sustentation et des perturbations de flux à
proximité des véhicules, laissant penser que l’air est
accéléré autour du véhicule, ce qui produit une poussée. Mais
de nombreux rapports font état d’objets en lévitation à
proximité du sol, dans le calme, ce qui suggère l’utilisation
de forces antigravitationnelles... Ici, l’antigravité est
définie comme une technique capable de produire apparemment un
champ gravitationnel, neutralisant le champ terrestre ou
réduisant la masse d’un objet. Donc, nous ne considérerons pas
la suspension électrostatique ou magnétique comme des effets
antigravitationnels. Même si elle est faisable, nous ne
traiterons pas ici la gravité comme moyen de propulsion dans
l’espace.
...On suppose que l’antimatière peut montrer
des propriétés antigravitationnelles, en respectant la matière
ordinaire. Les particules d’anti-matière comme des électrons
positifs, des protons négatifs et des anti-neutrons, peuvent
avoir des masses gravitationnelles négatives. Bien qu’on
puisse créer ces particules en laboratoire, puisque leur
vitesse résultante est voisine de celle de la lumière, on ne
peut pas encore mesurer la flexion d’un rayon de telles
particules, à cause de la gravité terrestre, et ainsi tester
leurs propriétés gravitationnelles.''
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On
accepte généralement la théorie qui dit que la matière est de
l’énergie coagulée (E = mc2). J’aimerai reformuler
ceci en disant qu’un éther très dense est matière. Maintenant
nous modifions notre modèle d’univers pour inclure la matière.
Supposons un corps d’eau (de n’importe quelle forme, mais pour
simplifier, je choisis la sphère), des ondes allant dans
toutes les directions et des cubes de glace se déplaçant
autour : l’eau est l’éther, les ondes sont la lumière, et
les cubes de glace sont la matière, et le ballon d’eau est
l’univers.
La capacité de l’éther à pénétrer un corps
s’oppose à la résistance due aux propriétés de la matière.
Ceci crée une différence dans la pression éthérique entre
l’intérieur du corps et l’espace. La pression éthérique de
l’espace est proportionnelle à sa densité déterminée par les
émanations totales des étoiles de l’univers et leur
éloignement. La loi des états thermodynamiques établit que
toutes les choses vont du supérieur à l’inférieur, au moins
jusqu'à l’équilibre. L’espace a une haute pression par rapport
à la basse pression éthérique à l’intérieur d’un corps.
Nous voyons maintenant que la présence d’un corps
matériel perturbe l’énergie intrinsèque normale de l’éther.
C’est le véritable sens de la relativité générale ; la
matière dit à l’espace (l’éther) comment se courber, et
l’espace courbe (l’éther) dit à la matière comment se
comporter. C’est une vraie révélation.
Les conceptions
faussées et la confusion inhérentes à la relativité générale
proviennent du fait que l’on travaille sur des concepts
abstraits qui sont supposés ne pas exister dans la réalité
physique. Nous voyons maintenant que c’est avec la dynamique
des interactions entre l’éther et la matière. que nous
travaillons en utilisant la relativité générale.
Paul
Brown poursuit : Sir Oliver Lodge disait " Toute
l’énergie potentielle existe dans l’éther ", et Sir J.J
Thompson disait : " Toute l’énergie cinétique est une énergie
cinétique de l’éther ". Brush croit que :"
l’énergie cinétique de l’éther est la cause fondamentale de la
gravitation, et qu’un corps en gravitation joue seulement un
rôle secondaire, en perturbant la distribution normalement
uniforme de l’énergie de l’éther. "
La vieille
théorie de la poussée de l’éther de Isendrake dit que les
corps ne s’attirent pas l’un l’autre, mais sont poussés l’un
vers l’autre par une sorte de " radiation cosmique "
provenant de toutes directions d’un infini physique.
Santilli a formulé une théorie de champ unifié qui
répond à cette forme de logique. Il identifie le champ
gravitationnel comme étant " une forme particulière, ou
une mutation du champ électromagnétique. " Selon la théorie
sur la gravitation d’Einstein, le tensor moment d’énergie de
tout champ électromagnétique agit en tant que source de champ
gravitationnel.
Nous avons vu que la gravité n’est pas
une vraie force, mais une force observée - " centrificale " -
créée dans nos esprits à cause de l’accélération relative d’un
corps et en raison de la déformation de l’éther en présence de
la matière. La gravité terrestre est le résultat de quelque
chose accélérant relativement à la terre. La gravité et
l’accélération ne sont pas seulement relatives, elles sont une
et même chose.
C'est l'éther dynamique qui permet d'expliquer les
orbites planétaires. Pour visualiser cette mécanique
orbitale, il faut se familiariser avec la démonstration
suivante. On prend un disque vibrant, mince. On répand
une poudre sur sa surface, et on le fait résonner (comme
dans les expériences de Chladni) sur une note de musique
fournie par l’éther dynamique. On remarque que la poudre
se déplace en windrows (sic) concentriques, espacés
d’une longueur d’onde. Quand les cercles se rapprochent
du centre, les vibrations rayonnantes cassent le modèle
circulaire (si l'on fait tourner le disque, les lignes
des rayons ressembleront alors à une nébuleuse en
spirale).
Le Soleil émet une
large gamme de fréquences qui rayonnent dans toutes les
directions, pendant que des ondes électromagnétiques le
pénètrent en venant de toutes directions. Ceci produit un
modèle d’interférence semblable à celui du disque et dans
lequel les planètes occupent les nœuds les plus profonds dans
le système solaire. L’espace solaire est rempli d’un nombre
infini de nœuds harmoniques supérieurs dont chacun d’eux est
capable d’attirer et fixer une masse de matériau. Lorsque l’on
voit des corps interplanétaires attirés vers des endroits où
il n’existe aucune masse centrale, pour établir un champ
gravitationnel selon la théorie contemporaine, on a alors la
preuve que les orbites planétaires sont dues à la dynamique de
l’éther.
Voici pourquoi une planète trouve son orbite
à un endroit précis du système solaire, mais on est en droit
de d’étonner de voir ses révolutions autour du soleil sur
cette orbite. En examinant attentivement le disque, on
discernera éventuellement que le flux d’énergie ne s’arrête
pas aux nœuds, mais subit une brusque rotation à angle droit,
alors que sa fréquence d’onde et sa vitesse se transforment..
Puisque la gravité est un résultat des différences de
pression éthériques, on peut alors pratiquer l’antigravité par
la situation inverse, c’est à dire en créant une zone où la
pression éthérique est forte et la densité plus basse que dans
la zone " emediate ". Imaginons un hamster dans une balle de
plastique, sur le tapis. Quand le hamster bouge, la balle
bouge avec lui, il peut alors circuler partout sur le tapis,
et ne jamais quitter la balle. On peut produire une telle zone
d’antigravité en employant des champs de force
électromagnétiques ou plus subtilement des résonances
harmoniques. (Voir John E. W. Keely dans notre précédent
Energie Tachyon…)
Brush a réussi de nombreuses
expériences en essayant de déterminer la capacité de
pénétration de l’éther sur diverses substances. Ses résultats
s’expliquent uniquement par l’éther dynamique.
C’est
la logique qui conduit à affirmer que l’éther doit exister. En
se servant de l’éther dynamique, on peut expliquer le
mécanisme de la gravitation, aussi bien sur la terre que dans
le cosmos. Avec l’éther, on peut voir une explication à des
choses comme les nébuleuses spirales, et mieux comprendre la
relativité générale. La compréhension de la dynamique de
l’éther permettra à notre technologie d’utiliser l’antigravité
et de domestiquer l’énergie de l’espace.
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En 1920, à Turin, en Italie,
par le Pr. Q. Majorana. Les expériences concernaient
l’absorption de la force gravitationnelle par un milieu
intermédiaire. Il suspendait une sphère de plomb de 1,3 kg à
l’intérieur d’ un bouclier de 104 kg de mercure, et trouvait
que le poids de la sphère diminuait de 0,00098 mg lorsque elle
plongeait dans le mercure. D’autre expériences, en 1926,
utilisaient une masse - bouclier de 10 tonnes de plomb. On a
trouvé une constante d’atténuation h de 2,8 x 10
-13 m 2 / kg où le facteur d’atténuation
pour un matériau - bouclier qui a une densité d et une
épaisseur t devient e -hdt. Cette théorie prédisait
que le soleil est bien plus dense qu’on ne l’estime, mais
l’effet gravitationnel n’est pas évident du fait de son propre
effet d’écran. Un tel écran n’est pas prévu par la théorie
d’Einstein sur la gravitation.
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- Le concept de l’éther n’a pas eu la faveur dans les
années 20, à cause des expériences de Michelson-Morley, qui
ont fait conclure à la non existence de l’éther. Cependant
d’autres expériences tendent à réfuter cette conclusion.
- Le Dr Miller entreprit une grande série de 200.000
mesures d'après cette expérience sur 25 ans dont quelques
unes ont été faites avec le Pr. Morley. Il a démontré un
effet de dérive d’éther positif de 10 km par seconde au Mont
Wilson.
- G. Sarnac a fait des expériences avec un interféromètre
en rotation, projetant des rayons de lumière dans des
directions opposées. Il a obtenu un modèle d’interférence
perceptible à deux révolutions par seconde, démontrant ainsi
une différence dans la vitesse de la lumière dans le sens de
la rotation comparée à la direction opposée, comme on
pourrait s’y attendre si l’appareil tournait dans un éther.
- En 1925, Michelson avait parlé d’un expérience
similaire. Elle consistait en un interféromètre attaché à
une canalisation de 30 cm où on avait fait le vide, dans une
configuration de rectangle de 612 m par 340 m. Le
déplacement du rayon de lumière observé correspondait à ce
qu’on attendait compte tenu de la rotation de la Terre.
- En Janvier 1959, le Hungarian Exporter, (n° 1, vol.9,
1959) publiait une nouvelle théorie sur la gravitation
élaborée par le Dr et ingénieur E. Magyari. On la décrivait
comme " Transfert d’Energie et de puissance par
pénétration" . A la tour de radio de Budapest pendant
l’éclipse solaire du 15/02/1961, l’expérience et les
commentaires de Magyari sur la nouvelle physique ont fait
sensation. Il en est arrivé à dire que l’accélération
gravitationnelle est une conséquence d’un effet de pression.
- En 1959, L. de Broglie, lauréat du prix Nobel, proposa
le concept d’un éther consistant en une mer de neutrinos, -
de très petites particules subatomiques de la masse d’un
électron mais sans charge électrique.
- Plus récemment, B. Kuclowicz, qui a examiné ce problème
donne une densité de particules de 10 12 par cm
3, pour une densité énergétique effective de un
joule par cm 3 .
- Une des premières objections à la théorie de l’éther a
été que la terre subirait un ralentissement en le
traversant. Que l’éther produise sur la terre un effet
retardateur par friction ou pas, dépend réellement du modèle
choisi. Mais C. Van Flandern de l’U S Naval Observatory a
probablement du observer si vraiment l’éther retarde la
terre et d’autres corps célestes. En effet, ses études
montrent que la vitesse orbitale de la terre autour du
soleil ainsi que celle de la lune autour de la terre sont
toutes les deux en train de diminuer, à un taux qui dépasse
celui du à la friction des marées. Il essaie d’expliquer
cela en disant que la gravité diminue avec le temps, à un
taux de une partie sur 10 milliards par an. Cependant, il
pourrait bien y avoir une autre explication, due au fait que
la terre et la lune subissent ce retard en raison de leur
mouvement dans l’éther. Un concept d’éther gyrostatique
compatible avec la théorie de l’onde électromagnétique de
Maxwell donne peut-être une explication : ce concept
d’éther n’offre pas de résistance à la compression ou à la
distorsion, mais il résiste à la rotation.
Des expériences modernes, des
perspectives...
Extraits de l’intervention
de William F. Hassel en 1975, à un symposium du MUFON sur des
hypothèses relatives à l’origine des Ovnis.
- Maurice Allais s’est servi d’un pendule libre de tourner
dans toutes les directions, mais avec un support conçu pour
produire un léger mouvement elliptique. Le pendule
fonctionne comme un pendule de Foucauld. Pendant un mois,
les expériences d’Allais ont révélé, une période de 24 aussi
bien que de 25 heures, avec de grands écarts par rapport à
une progression angulaire linéaire sur un intervalle donné
de 24 heures. Il a aussi été trouvé que le plan
d’oscillation se décalait de 15 ° pendant une éclipse
solaire totale, mais le décalage maximum était en avance de
20 minutes sur le maximum de l’éclipse.
- Niels T. Sorensen utilise des radiations à micro ondes
pour réaliser une réduction dans le champ gravitationnel
local. Les expériences ont été faites sur cette base, à 5 kW
CW et à une fréquence de 9,2 GHz. Un objet de 100 g.
suspendu le long de l’axe du système perdait du poids ,
quand il se trouvait juste sous l’apex, et en gagnait juste
au-dessus de lui. La moyenne faite sur des centaines de
mesures donne 70 milligrammes.
- En 1971-72, Peschka, à Stuttgart a fait une séries
d’expériences montrant qu’on pouvait produire une force par
un système sans expulsion de masse ou de mouvement
mécanique, et sans l’interaction de champs électriques et
magnétiques avec l’environnement. Il ne donne pas
d’explication à cet effet de force, mais il remarque le
changement gravitationnel.
- En Allemagne, Horst Hanschmann a un brevet (N° 2.134
182, 1975) sur un appareil qui produit des ondes de gravité
en mettant en phase les spins des électrons et des protons
des atomes d’une substance cristalline, par des champs
magnétiques, et atteignant ainsi l’état d’énergie de la
radiation électromagnétique. Bien que l’effet soit minime,
l’explication se base aussi sur le concept de spin. Le
concept d’éther gyrostatique, où l’éther peut réagir avec la
matière en rotation, est peut-être juste.
- R.M. Wood pense que l’extension de gravité sera réussie
dans les années 1990. Les expériences d’aujourd’hui, n’ont
que de très petits effets et ne sont pas encore assez
prometteuses pour fournir une antigravitation pratique.
Elles fournissent néanmoins les données sur lesquelles se
construisent les nouvelles théories. Une fois qu’une théorie
juste est développée, il devient plus facile d’étudier et
d’optimiser les paramètres critiques pour augmenter l’effet
antigravitationnel. C’est alors que la physique théorique
aura résolu le mystère de l’anti gravité, de la lévitation
des OVNIs, et que le jour sera venu où des véhicules
circuleront en apesanteur.
- Durant l’été de 1927, deux scientifiques, en Pologne,
Kowsky et Frost, remarquèrent que les cristaux avaient des
propriétés spéciales antigravitationnelles. Ils donnaient
suite ainsi à quelques découvertes en piezo électricité
faites par Meissner chez Telefunken et qui avaient permis de
trouver que des cristaux pouvaient en même temps perdre leur
transparence et changer leur gravité spécifique.
- Au moyen d’oscillations d’émetteurs radio de plusieurs
kilowatts, d'une technique piezo-électrique, Kowsky et Frost
ont fourni une suralimentation à un petit cristal. Ils se sont
aperçus que les dimensions du cristal augmentent sur un côté
de 200 %, et le volume s'accroît de 800 % tandis que son poids
d’environ 28,35 g se réduisait. Quand le cristal subissait une
excitation électrique qui le faisait monter, il était capable
également de soulever, en plus de l'appareil qui le faisait
flotter, et à 2 mètres environ au-dessus du sol du
laboratoire, un poids supplémentaire de 25 kg.
Les comptes
rendus et des photos de l’essai ont été publiés dans le
journal allemand Radio Umschau et dans le n° de 1927 de
Science et Invention.
- Les chercheurs Dan Davidson et John Parr disent avoir
obtenu (au moyen d’un champ magnétique et d’une rotation)
une réduction de poids momentanée de 50% lors d’une de leurs
expériences. Ils ne sont pas les seuls à dire que l’on peut
augmenter ou diminuer (perte de poids) l’afflux de l’éther
en utilisant tout mouvement d’énergie ou de masse qui se
déplace dans un certain sens.
Toutes ces expériences
ont un lien commun, la possibilité d’avoir influencé
l’alignement de spin des molécules des appareils
expérimentaux. Il se peut que le rayonnement de micro ondes
soit entré en interaction avec les atomes de l’objet testé, et
avoir produit un alignement des spins atomiques, et un
mouvement rotatif mécanique peut aussi avoir produit un effet
similaire.
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de page
L’aether afflue dans la matière pour produire une
force de compression que nous nommons gravité. Toute la
matière et l’énergie ne font pas qu’en jaillir, mais
reviennent à l’état d’éther. Le flux de l’éther dans un
agglomérat de masse est compté en partant de la manifestation,
à la maturité et au retour dans l’éther. Ce chronométrage est
un sous-produit du flux de l’éther et mesure ainsi le
vieillissement de la matière. Les passages par la naissance,
l’âge mûr et la mort sont mesurés par le temps, c’est
pourquoi, en réduisant ou en accélérant le flux de l’éther,
cela influencera proportionnellement la gravité et le temps.
Si
l’on crée un puits de faible densité et que l’on place une
masse sur son bord, elle tombera dedans. Ensuite, on déplace
le puits de façon que la masse reste toujours sur le bord.
Elle continuera à continuer de tomber en avant en essayant de
remplir le puits. C’est tout comme la carotte placée devant la
mule qui traînera une charge en la suivant. Dans l’éther, si
l’on crée ce genre de puits, l’éther environnant affluera
continuellement en cherchant à remplir le puits jusqu'à ce
qu’un équilibre s’installe. Si l’on enfonce très vite une main
dans de l’eau, on créée pendant un moment un puits qui bientôt
sera rempli par l’eau environnante s’y précipitant pour
ré-établir l’équilibre. Ce n’est pas qu’une réponse pour la
poussée, mais aussi pour l’énergie et pour l’ascension.
Chercheur français indépendant,
il explique depuis une trentaine d'années que nous vivons dans
un système de poussée universelle. Pour lui, la gravitation
n'est due qu'à la présence de la matière née de
l'agglomération des gravitons. Le graviton étant l'ultime
particule, mère de toutes les autres particules qui n'en
seraient qu'un état dégradé comme les quarks, électrons,
photons.
L'éther serait donc formé de ces gravitons
venant de toutes parts du cosmos, pénétrant toutes choses mais
se laissant parfois piéger au cœur de la matière, augmentant
ainsi sa masse continuellement et créant le feu interne des
corps célestes. Les corps ne seraient donc pas attirés les uns
par rapport aux autres, mais poussés en fonction d'un " cône
d'ombre éthérique " créant la gravitation par un déséquilibre
dans l'éther. De ce fait, pour agir sur la pesanteur, il
suffit de trouver un écran manipulant et régulant la densité
de gravitons autour du corps sans toutefois en être solidaire.
L'objet peut alors se déplacer dans toutes les directions, à
toutes les vitesses jusqu'à " tomber vers l'espace ".
M. David pense que ces particules seraient le support
de l'Esprit Créateur Universel et même le Spiritus Mundi des
Anciens.
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Quelques témoignages et réflexions relatifs à des
phénomènes
curieux de gravitation
|
Dan Davidson témoigne d'un
cas particulièrement intéressant au Tibet :
" Une
pierre de un mètre cube et demi est placée dans une cuvette
hémisphérique de un mètre de diamètre située dans le sol. Les
prêtres émettent un bruit continu au moyen de cors, de
tambours et de tout objet capable d’ajouter à la cacophonie.
Je pense que le trou dans le sol réfléchit ces sons dans la
pierre. Après quelques minutes, la pierre est comme
sensibilisée et se trouve dans un état proche du chaos. Cinq
minutes après, on frappe un gros tambour qui joue le rôle de
déclencheur sonore, ce qui pousse la pierre par dessus bord
(hors limite) (au sens énergétique).
L’afflux de
l’éther dans les centres neutres de la pierre fait qu’ils sont
perturbés par la cacophonie. Lorsque retentit le gros tambour,
tous les sons se concentrent, comme dans un laser acoustique,
pour repousser et détourner l’éther de la pierre. Comme dans
l’expérience Finlandaise à l’Université Tampere, le poids de
la pierre est réduit fondamentalement (pas supprimé). Alors,
la pierre ressemble à un bloc de polystyrène pendant quelques
secondes. La pression de l’air accumulé dans la cavité sous la
pierre fournit une poussée explosive qui la projette en l’air
et sur le bord."
Selon des géologues sibériens la
montée et la descente du niveau de l'eau des grands océans
dépend de la rotation de la Terre. Depuis la fin des années
30, un ralentissement de la vitesse de rotation de la Terre
s'est produit, s'est arrêté, et a été suivi ensuite depuis
1972 par une accélération. On peut comparer ce processus aux
fluctuations scientifiquement constatées de la surface de
l'eau de la mer Caspienne. On a mis en évidence qu'un
ralentissement provoquait une montée des eaux alors que
l'accélération les faisait baisser. Ce sont des phénomènes que
l'on constate aussi pour la mer d'Aral, le lac (ou la mer) des
Balkans au Kazakstan, à Njassa, en Afrique ainsi que pour
d'autres grandes étendues d'eau. On a trouvé que leurs
réactions aux modifications de la vitesse de rotation
terrestre se produisaient avec un décalage de 6 ans.
En 94 ou 95, M. Grzegorczyk (Sillerstrasse 67, 42327
Wüppertal Tél: 02 02/714614) écrivait au Dr Nieper :
"
Membre de la DVS, originaire de Pologne, je m'y rends souvent.
Il y a 2 ans, j'ai découvert un phénomène physique
intéressant. Il y a dans les montagnes de Beskid "Zywiecki",
un mont nommé Görazar. Sur la route qui mène au sommet, il
existe une section de route d'environ 20 à 25 mètres où une
voiture, sans élan donné, continue de monter seule, sans
moteur…j'ai constaté cela avec une sensation bizarre…je vous
en informe car je pense qu'il s'agit là d'une forme d'énergie
qui pourrait être reliée à vos recherches. "
Dans
un article datant de 1994, publié dans le n° 32 de décembre 94
-janvier 95, et analysant les pertes de poids enregistrées au
cours de travaux sur la bobine de Seike, N. A. Reiter de
Gibsonburg, Ohio écrivait :
" Que nous tentions de
reproduire les travaux de Brown, Hooper, Dotto, et autres ou
choisissions de suivre nos propres idées folles, il faut se
rappeler qu'il existe deux possibilités pour la Percée Finale
sur la gravité.
- le contrôle de gravité nécessitera des matériaux
d'avant-garde et des dépenses phénoménales d'énergie et
d'argent, et il sera alors aux mains des grands laboratoires
ou des industries reliées à la défense.
- Le secret de la gravité peut être caché dans un procédé
ou un principe ou une technologie facile à obtenir. Il ne
faut peut-être vraiment que des matériaux simples et
quelques watts d'énergie associés à une observation assidue.
Bien sûr le scientifique amateur met ses espoirs
dans l'option B. L'astuce qui rend cette option B possible
tient dans le fait qu'il n'y a que très peu de composants
modernes qui aient jamais réellement été pesés avant, pendant
et après leur fonctionnement. Citons par exemple les moteurs
triphasés, les cellules solaires, les LED, les jonctions de
thermocouple et Peltier, les tubes laser etc.
Des
systèmes de pesée calibrés sont abordables pour de nombreux
chercheurs. Pourquoi ne pas débuter une " croisade " en pesant
toutes sortes de choses. Une cellule solaire au silicium
perdra ou gagnera peut-être quelques milligrammes si elle
reçoit ou no de la lumière ? Mais combien de personnes ont
jamais eu l'idée de peser une cellule solaire ?
Voir les pages 241 à 320 du livre de Stan Deyo : "
La conspiration cosmique", éd. Louise Courteau 1991 et le
site de Jean-Louis Naudin avec les travaux de Brown, le projet
Arda etc...
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